- envie de revoir mes géants de pierres et de les serrer dans mes bras…sentir leur tiédeur grasse dû à toues les vaches du près qui viennent s’y frotter voluptueusement.
- Penser à se décentrer, à changer de point de vue, à considérer tous les possibles, si parfois le ciel est noir droit devant, derrière se cache peut être un coucher de soleil flamboyant.
- Ne pas prendre les choses personnellement, encore et encore!
- Tenter la déconnexion, lâcher, éteindre, et oublier un peu tout ça, ne pas être disponible pour tout, tout de suite, maintenant.
- Regarder autour de moi les gens, celui là qui va au tri avec son panier d’osier à 9 heures du matin, cet autre devenu si agressif, pourquoi? Et celle ci qui ne nous comprend pas et qui semble isolée dans sa tête…mais au milieu de tout ça différencier quand c’est eux, quand c’est moi…
Sublime photo, apaisante! C’est où? Je t’embrasse fort
dans la campagne au milieu de nulle part, entre Le Creusot et Couches à côté de chez moi, en Saône et Loire!
On est un des départements où il y a le plus de Menhirs ( c’est pas la Bretagne, c’est sur, mais on se défend pas mal!)
pleins de bisous
Je vais viendre. Je ne sais pas quand, mais je vais viendre. Gare à toi.
Quand tu veux gente dame!!!